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[ATHENA] CFA : Premières journées européennes d'études : Formes et typologie des règlementations des métiers, dealine : 15 juin
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- From: "\"Robert Carvais\"" (rcarvais AT noos.fr) <athena AT services.cnrs.fr>
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- Subject: [ATHENA] CFA : Premières journées européennes d'études : Formes et typologie des règlementations des métiers, dealine : 15 juin
- Date: Thu, 13 Apr 2017 12:31:48 +0200
- Importance: High
Cher(e)s collègues,
Je vous prie de trouver ci-joint un appel à communication pour une journée européennes d’études sur « Formes et typologie des réglementations des métiers. Moyen Age et époque moderne » qui doit se dérouler à Paris, les 30 novembre – 1er décembre 2017. Elle s’inscrit dans un programme plus large de recherches sur
Les formes de réglementation des métiers dans l’Europe médiévale et moderne : Créations et renouvellements ________
Depuis les travaux anciens[1] et la vague concomitante des éditions de sources sur les règlements des métiers de la deuxième moitié du XIXe et du premier tiers du XXe siècle, la question des structures professionnelles sous l’Ancien Régime n’a pas été revisitée, à l’exception près mais tardivement dans les années 1960 des travaux de l’historien Bronislav Geremek et du juriste André Gouron. Or, depuis les années 2000, nombre d’historiens se sont penchées sur l’étude des métiers sous des angles nouveaux (ceux du travail, de l’économie, de la technique). Il nous a semblé alors opportun de renouveler la question de l’organisation des métiers à travers sa règlementation. A cette fin, nous envisageons de le faire dans le cadre d’une série de plusieurs journées d’études européennes (Formes et typologies ; acteurs et moyens ; objet ; diffusion, transformation spatiale et temporelle). C’est le premier axe de réflexion que nous proposons ici.
1ères journées européennes d’études : Formes et typologie des réglementations des métiers (Paris, 30 novembre – 1er décembre 2017)
Cette première rencontre souhaite jeter les bases d’une réflexion commune, dans un cadre international, sur les systèmes de réglementation des activités professionnelles au cours du second Moyen Âge et de l’époque moderne (XIIe-XVIIIe siècle). Elle propose une relecture de la question à l’échelle européenne à partir de quelques cas concrets, en privilégiant une approche comparée tirant parti des renouvellements historiographiques qui ont récemment marqué la question dans plusieurs pays[2]. Promouvant une vision intégrée des systèmes de réglementation, elle souhaite replacer ces derniers dans leurs contextes sociaux, économiques, juridiques et politiques, en s’intéressant notamment aux relations entre les gens de métier et les pouvoirs publics. Le point de départ du projet est de considérer qu’il n’existait pas un seul mode de réglementation des activités professionnelles, mais plusieurs, propres à un métier, une ville, un espace régional, dont chacun fit l’objet d’une genèse et d’évolutions particulières, en s’inscrivant dans des rythmes et des processus divers (systèmes de codification orale des pratiques professionnelles ; fondation écrite ; homologation, renouvellement, réforme au travers de projets aboutis ou inaboutis ; essaimage de multiples transformations de détail, etc.) L’approche comparée peut permettre de mieux saisir ces différences et similitudes, du point de vue formel et chronologique, en insistant plus particulièrement sur les phases de création et de renouvellement des dispositifs réglementaires. Si les études sur les statuts de métier occupent une place fondamentale dans l’historiographie de la question, la réflexion ne doit d’ailleurs pas s’arrêter aux seuls groupements professionnels ou corps de métiers constitués, faisant l’objet de corpus réglementaires rassemblés et ordonnés pour et par un secteur d’activité spécifique. L’analyse se veut plus globale, en s’ouvrant d’une part à l’ensemble des activités de l’artisanat, de l’industrie et du commerce, et d’autre part à tous les types de réglementation, sans se restreindre aux seuls statuts professionnels, qui représentent sans doute la forme normative la plus aboutie, mais qui coexistent avec de multiples autres formes réglementaires (ordonnances, sentences, règlements, us et coutumes, lettres patentes, décisions, etc.) En se penchant spécifiquement sur le problème des formes de réglementation des activités professionnelles, cette première rencontre souhaite articuler la réflexion commune autour de plusieurs axes :
· La mise en forme de la norme Comment l’historien appréhende-t-il la fabrication des norms ? L’approche matérielle des corpus réglementaires peut permettre de mieux comprendre les logiques de production de la norme en révélant les différentes strates d’écriture que masquent souvent les éditions anciennes des statuts de métier : corrections, ajouts, suppression d’articles montrent que les dispositions n’ont rien d’un ensemble figé, fixé une fois pour toute, et qu’elles constituent souvent un matériau extrêmement évolutif. A contrario, on pourrait également s’interroger sur des formes de canonisation précoces de dispositions réglementaires, qui donnent lieu à des mises en forme de prestige (cartulaires) posant le problème de leur plus ou moins grande déconnexion avec une réalité des pratiques par définition mouvante.
· Les terminologies : dire la réglementation aux époques médiévale et moderne Comment les dispositions réglementaires sont-elles désignées dans la documentation ? Le caractère parfois fluctuant des termes employés (statut, ordonnance, établissement, règlement, coutume, libertés...) répond-il à la diversité des formes de réglementation ?
· Les formes implicites de réglementation La réflexion sur les formes de réglementation doit s’ouvrir aux modalités informelles de codification, par définition très discrètes dans les sources : règles orales ou issues de la coutume et de la tradition ; mesures générales en vigueur à l’échelle d’une région ou d’un royaume qui s’appliquent à un métier sans que les réglementations spécifiques à celui-ci éprouvent le besoin de les rappeler.
· La place des statuts dans les corpus réglementaires formalisés Derrière la place prédominante qui a été conférée par l’historiographie aux statuts de métiers, il importe de mesurer la place réelle de ces derniers dans le dispositif normatif local, et notamment leur coexistence avec d’autres types de réglementations, complémentaires ou éventuellement concurrentes : dispositions ponctuelles émises au cas par cas par le pouvoir municipal et/ou d’autres pouvoirs publics, ou par le métier lui-même quand il dispose de l’autorité suffisante, au travers d’ordonnances spécifiques ou même d’articles isolés dans des textes traitant de diverses questions.
[1] Voir les travaux d’Hyppolite Blanc, d’Etienne Martin-Saint-Léon, de Joseph Billioud, d‘Ernest Labrousse, d’Emile Levasseur, d’Henri Hauser, d’Emile Coornaert, etc. On ne saurait omettre l’impact des travaux du juriste François Olivier-Martin. 2 Voir par exemple Bothwell, James, Goldberg, Jeremy, Ormrod, Mark (éds.), The Problem of Labour in Fourteenth-Century England York, 2000 ; Philippe Bernardi et Catherine Verna, « Travail et Moyen Âge : un renouveau historiographique », Cahiers d’histoire, 83, 2001, p. 27-46 ; Tra Economia e politica : le Corporazioni nell’Europa medievale (Pistoia, 13-16 maggio 2005), Pistoia, 2007, p. 333-357 ; Philippe Bernardi, Maître, valet et apprenti au Moyen âge. Essai sur une production bien ordonnée, Toulouse, 2009. Pour la période moderne voir les travaux de Philippe Minard, Steven Kaplan ou Michael Sonenscher et pour une synthèse sous l’angle juridique Robert Carvais, « Pour une préhistoire du droit du travail avant la Révolution » in Bernadette Menu (dir.), L’organisation du travail en Egypte ancienne et en Mésopotamie, Le Caire, Institut français d’archéologie orientale, Bibliothèque d’étude, 151, 2010, p. 13-37.
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Si vous souhaitez proposer une communication pour cette manifestation, veuillez faire parvenir un abstract d’environ 2500 signes (ou 400 mots) ainsi qu’une courte biographie indiquant votre rattachement institutionnel aux trois organisateurs de ces journées dont les mails suivent avant le 15 juin 2017. Robert Carvais rcarvais AT noos.fr Arnaldo Melo amelo AT ics.uminho.pt Judicaël Petrowiste judicael.petrowiste AT univ-paris-diderot.fr
Comité scientifique: Philippe Bernardi, CNRS, Lamop Caroline Bourlet, CNRS, IRHT Robert Carvais, CNRS, CTAD Maxime Lhéritier, Université Paris-Diderot Arnaldo Melo, Université do Minho, Braga (Portugal) Judicaël Petrowiste, Université Paris-Diderot Jean-Louis Roch, Université de Rouen François Rivière, EHESS, CRH
Bibliographie récente sur les métiers (XIIIe-XVIIIe siècle) Allegra Luciano, « Un modèle de mobilité sociale préindustrielle. Turin à l’époque napoléonienne », Annales HSS, 2005, p. 444-445. Arizaga Bolumburu Beatriz y Solorzano Telechea Jesus A. (dir.), Construir la ciudad en la edad media, Logrono, instituto de Estudios Riojanos, 2010. Arnoux Mathieu et Monnet Pierre (dir.), Le technicien dans la cité en Europe occidentale, 1250-1650, Rome, 2004 Bernardi Philippe, Maître, valet et apprenti au Moyen Âge. Essai sur une production bien ordonnée, Toulouse, CNRS – Université Toulouse Le Mirail, 2009. Blondé Bruno, Vanhaute Eric et Michèle Galand (dir.), Labour and labour markets between town and countryside (Middles Ages-19th century), Turnhout, Brepols, Coll. “Comparative Rural History of the North Sea Area”, vol. 6, 2001 Braunstein, Philippe, Travail et entreprise au Moyen Âge, Bruxelles, 2003. Bothwell James, Goldberg Jeremy. and Mark Ormrod (eds.) 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Bien cordialement
Robert Carvais [1] Voir les travaux d’Hyppolite Blanc, d’Etienne Martin-Saint-Léon, de Joseph Billioud, d‘Ernest Labrousse, d’Emile Levasseur, d’Henri Hauser, d’Emile Coornaert, etc. On ne saurait omettre l’impact des travaux du juriste François Olivier-Martin. [2] Voir par exemple Bothwell, James, Goldberg, Jeremy, Ormrod, Mark (éds.), The Problem of Labour in Fourteenth-Century England York, 2000 ; Philippe Bernardi et Catherine Verna, « Travail et Moyen Âge : un renouveau historiographique », Cahiers d’histoire, 83, 2001, p. 27-46 ; Tra Economia e politica : le Corporazioni nell’Europa medievale (Pistoia, 13-16 maggio 2005), Pistoia, 2007, p. 333-357 ; Philippe Bernardi, Maître, valet et apprenti au Moyen âge. Essai sur une production bien ordonnée, Toulouse, 2009. Pour la période moderne voir les travaux de Philippe Minard, Steven Kaplan ou Michael Sonenscher et pour une synthèse sous l’angle juridique Robert Carvais, « Pour une préhistoire du droit du travail avant la Révolution » in Bernadette Menu (dir.), L’organisation du travail en Egypte ancienne et en Mésopotamie, Le Caire, Institut français d’archéologie orientale, Bibliothèque d’étude, 151, 2010, p. 13-37. |
- [ATHENA] CFA : Premières journées européennes d'études : Formes et typologie des règlementations des métiers, dealine : 15 juin, "Robert Carvais", 13/04/2017
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