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Objet : Histoire des techniques
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[ATHENA] Journée d'étude: Technologies du soi : normativité et subjectivité dans l’auto-mesure, 23 septembre 2017, Paris 1 Panthéon-Sorbonne
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- From: "Marina Maestrutti" (Marina.Maestrutti AT univ-paris1.fr) <athena AT services.cnrs.fr>
- To: diffparis1 AT cines.fr, athena AT services.cnrs.fr
- Subject: [ATHENA] Journée d'étude: Technologies du soi : normativité et subjectivité dans l’auto-mesure, 23 septembre 2017, Paris 1 Panthéon-Sorbonne
- Date: Tue, 29 Aug 2017 10:19:20 +0200
Cher.es collègues,
Veuillez trouver ci-joint l’annonce de la journée d'étude :
Technologies du soi : normativité et subjectivité dans l’auto-mesure,
23 septembre 2017, Paris 1 Panthéon-Sorbonne, salle Halbwachs, 17 rue de la Sorbonne, Paris 75005, 9h30-16h30
organisé par le GT 41 "Corps, Technique et Société" de l'AFS et le CETCOPRA (Paris 1)
Argumentaire général
La diffusion de plus en plus importante des capteurs embarqués, permettant une prolifération de données sur l’activité physique, se révèle un objet au cœur des problématiques du groupe «Corps, technique et société ». C’est en effet un terrain idéal pour questionner les rapports entre, d’une part, le corps comme support matériel de la relation subjective au monde et, d’autre part, la production technico- sociale des normes par lesquelles les conduites corporelles sont encadrées. Afin d’éviter un regard surplombant sur ce phénomène qui opposerait un corps « naturel » à un corps « normalisé », cette journée d’étude se propose de questionner le processus technico-social par lequel les capteurs d’activité produisent des normes. C’est justement afin d’ouvrir la boîte noire, tant technique que sociale, de la « normativité » des instruments d’auto-mesure, que la journée d’étude convie à dialoguer des intervenants qui s’intéressent à des aspects complémentaire de la « norme ».
Il s’agira premièrement de dépasser l’auto-évidence de l’assimilation de la mesure à la norme, afin de percevoir les truchements par lesquels les données produites par les capteurs sont légitimées socialement et techniquement comme des mesures « efficaces ». D’autre part il faudra mettre en lumière les contextes dans lesquels les normes produites par les objets connectés deviennent opératives. Les intervenants seront donc invités à dialoguer sur le rapport entre l’utilisation des quantifications pour définir des standards de santé et leur perception par les usagers. Enfin, la journée d’étude s’intéressera aux modalités par lesquels les normes produites techniquement modifient effectivement les conduites des individus. Il s’agira d’observer les processus par lesquels les sujets intègrent les données élaborées de manière standardisée dans leur activité contingente
En espérant de vous voir nombreux et nombreuses, n'hésitez pas à diffuser!
Cordialement
Marina Maestrutti, Marco Saraceno, Mauro Turrini
Veuillez trouver ci-joint l’annonce de la journée d'étude :
Technologies du soi : normativité et subjectivité dans l’auto-mesure,
23 septembre 2017, Paris 1 Panthéon-Sorbonne, salle Halbwachs, 17 rue de la Sorbonne, Paris 75005, 9h30-16h30
organisé par le GT 41 "Corps, Technique et Société" de l'AFS et le CETCOPRA (Paris 1)
Argumentaire général
La diffusion de plus en plus importante des capteurs embarqués, permettant une prolifération de données sur l’activité physique, se révèle un objet au cœur des problématiques du groupe «Corps, technique et société ». C’est en effet un terrain idéal pour questionner les rapports entre, d’une part, le corps comme support matériel de la relation subjective au monde et, d’autre part, la production technico- sociale des normes par lesquelles les conduites corporelles sont encadrées. Afin d’éviter un regard surplombant sur ce phénomène qui opposerait un corps « naturel » à un corps « normalisé », cette journée d’étude se propose de questionner le processus technico-social par lequel les capteurs d’activité produisent des normes. C’est justement afin d’ouvrir la boîte noire, tant technique que sociale, de la « normativité » des instruments d’auto-mesure, que la journée d’étude convie à dialoguer des intervenants qui s’intéressent à des aspects complémentaire de la « norme ».
Il s’agira premièrement de dépasser l’auto-évidence de l’assimilation de la mesure à la norme, afin de percevoir les truchements par lesquels les données produites par les capteurs sont légitimées socialement et techniquement comme des mesures « efficaces ». D’autre part il faudra mettre en lumière les contextes dans lesquels les normes produites par les objets connectés deviennent opératives. Les intervenants seront donc invités à dialoguer sur le rapport entre l’utilisation des quantifications pour définir des standards de santé et leur perception par les usagers. Enfin, la journée d’étude s’intéressera aux modalités par lesquels les normes produites techniquement modifient effectivement les conduites des individus. Il s’agira d’observer les processus par lesquels les sujets intègrent les données élaborées de manière standardisée dans leur activité contingente
En espérant de vous voir nombreux et nombreuses, n'hésitez pas à diffuser!
Cordialement
Marina Maestrutti, Marco Saraceno, Mauro Turrini
Marina Maestrutti
Maitre de conférences en Sociologie
Département de Sociologie (UFR 10)
CETCOPRA (Centre d'Etude des Techniques, des Connaissance, des Pratiques
13, rue Sainte Croix de la Brétonnerie 75004 Paris
Téléphone : +33 142788450 - Fax : +33 1 - Portable : +33 617477652
Maitre de conférences en Sociologie
Département de Sociologie (UFR 10)
CETCOPRA (Centre d'Etude des Techniques, des Connaissance, des Pratiques
13, rue Sainte Croix de la Brétonnerie 75004 Paris
Téléphone : +33 142788450 - Fax : +33 1 - Portable : +33 617477652
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- [ATHENA] Journée d'étude: Technologies du soi : normativité et subjectivité dans l’auto-mesure, 23 septembre 2017, Paris 1 Panthéon-Sorbonne, Marina Maestrutti, 29/08/2017
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